Article rédigé par Simon Laroche et Quentin Piette, aka le Zèbre.
Photos par Adrienne Nicolaï. Délires visuels avec l'IA par Thomas Chapeaux. Get 27 par Moana Genevey.

EDITO PAR LA RÉDAC COSMIQUE

Je me suis trop donné pour l’édito hier, là j’ai plus de batterie. Courronnez le tout d’une soirée au Délirium avec les équipes et le staff hier (aujourd’hui) jusque 3h du matin, il est possible que des mots manquent à cette édition du Petit Journal. J’en profite pour vous partager un super jeu initié par la jouteuse belge Moana lors de cette dite soirée. CE JEU S’APPELLE LE PRESQUE-STAR. Chantez une chanson en modifiant les paroles pour faire deviner le nom du ou de la chanteur.euse réécrit avec un jeu de mot. Exemple avec “Under my umbrellahahaha, umbrellahaha eh ehhhehe” - la réponse à deviner est Rire-hanna. On se réjouit en tout cas de retrouver le Lumen pour une deuxième fois,
ça va être du grand show. Allez, à plus, je vais faire une sieste.

Pour la première fois depuis le début de ce mondial, le match commence par une improvisation libre, sans contrainte et de moins de 10 minutes. Qu’arrive-t-il à nos Maîtresses/Menestres de jeu ? Cette libre inaugurera le match avec un remake de Ratatouille mêlé à un problème de canalisation. Une sorte de PIXAR réalisé sous vodka en fin de soirée.

S’en suivra un entretien d’embauche dans une entreprise gérée par des enfants. Suite à cette improvisation, la punch de la Maîtresse de jeu fût alignée avec cet univers enfantin : « Vous, public, vous avez même pas de cri d’équipe alors nia nia nia ». Régression générale vers l’enfance, alors que l’énergie ne fait que grimper dans la salle. Le public profitera ensuite d’une histoire de famille qui doit quitter le 16ème ; d’un anniversaire complètement zimboum déluré-maussade. La France, nourrie par une impartialité sans doute approximative de la salle, prend son premier point à la 4ème improvisation.

Les équipes continueront de mélanger les univers et les prénoms. Les feux de l’amour se mêleront à un roman policier, les Brandon et Kévin s’additionneront en prénoms composés horribles. Désolé pour les Jean-Eude présents dans notre lectorat, on vous kiffe quand même. Le capitaine belge écopera d’ailleurs d’une faute de manque d’écoute pour avoir oublié son prénom. Enfin pas le sien, celui de son personnage. Mais vous aviez compris, arrêtez de me saouler.
Première impro de la mi-temps, le capitaine belge Gauthier se fait exclure. En cause, avoir Coupez court à la poésie de la scène avec un réplique dissonante de l’ambiance jouée. Par la suite, on assistera à un carré hollandais franco-belge acclamé, la suite de notre sitcom policière et pas mal d’instants de folie comparés et mixtes. Le match se conclura sur le score de 11-6 à en faveur de la Belgique, qui ne reflète pas tellement la physionomie de la partie.

Le coup de cœur de la rédac'

Malgré les défaveurs (souvent injustifiées à notre sens) du public, la rédac a été bluffée par la qualité de l’arbitrage/maîtrise de jeu. Un nombre conséquent mais très juste de fautes très bien placées par Léa, encadrantes et fortement utiles au bon équilibre du spectacle. Répliques efficaces, punchlines puissantes envers les équipes et envers un public parfois mauvais élève, rapidement remis à sa place.
Surtout dans le contexte de ce match fébrile d’une ambiance de rivalité unanime dans le public. D’ailleurs, cet avis est également valable pour toutes les performances des Maîtresses et Menestres de Jeu sur les autres matchs. Et non, nous n’avons pas été payés. Mais merci quand même pour les Triple Karmeliet.

Impro n°2 du match "Jeune et sans attaches" à gauche et impro n°12 du match "Le collier maudit de Lady de Glascour" à droite, interprétées par une intelligence artificielle.

Suivi des scores

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La critique de Lionel, le régisseur technique du Mondial

“On va vendre les t-shirt du Mondial avec votre transpiration aux enchères”. Retrouvez Lionel dans les reportages vidéo du Petit Journal du Mondial, à retrouver sur les réseaux sociaux de la FBIA.